Autochtones du Canada : histoire, langues, diversité des cultures et expressions contemporaines
Rabais privilège de 50 % pour les Diplômés de l'UdeM
MITIG Semaine autochtone de l’UdeM du 14 au 18 mars 2022
4 après-midi d'une durée de 2 heures
Vous pouvez acheter la série complète ou sélectionner les épisodes de votre choix.
Épisode 1 : Les Autochtones au Canada, cours 101
Épisode 2 : Écoles et pensionnats autochtones : historique et conséquences intergénérationnelles
Épisode 3 : Langues autochtones : (p)réparer la transmission, vivre la perte
Épisode 4 : La diversité des cultures autochtones et leurs expressions contemporaines
Description
Attention : une conférence par mois
Qui est Autochtone et qui ne l’est pas au Canada? Pourquoi l’histoire des pensionnats autochtones est-elle si importante pour comprendre les réalités autochtones actuelles? Comment transmettre des langues autochtones en danger, qui furent combattues dans le système scolaire, et comment vivre leur perte quand on n’a pas eu la possibilité de les apprendre enfant? À travers nos trois premiers épisodes, nous aborderons des thèmes de base pour apprendre à connaître les Premières Nations, les Inuit et les Métis. Nous clorons notre série en évoquant la richesse et la diversité des cultures autochtones, d’hier à aujourd’hui.
Marie-Pierre Bousquet, Ph. D., est professeure titulaire au Département d’anthropologie et directrice du programme en études autochtones de l’Université de Montréal. Elle est spécialiste des questions autochtones canadiennes et travaille particulièrement avec les Anicinabek (Algonquins) du Québec.
Samuel Rainville, conseiller aux relations avec les Premiers Peuples à l’Université de Montréal. Il est détenteur d’un certificat en sciences de l’environnement et d’un diplôme de 2e cycle en éducation relative à l’environnement de l’Université du Québec à Montréal, ainsi que d’un baccalauréat en études internationales et langues modernes de l’Université Laval. Il est membre de la nation innue.
Yvette Mollen a consacré sa carrière à la protection et à la valorisation de sa langue maternelle, l’innu, d’abord comme enseignante au primaire, puis comme directrice du secteur Langue et culture de l’Institut Tshakapesh. Ayant étudié à l’Université du Québec à Chicoutimi et à l’Université de Montréal (UdeM) en enseignement en milieu amérindien, en intervention éducative et en études françaises et mené des recherches de maîtrise auprès de jeunes Innus, elle réalise maintenant son rêve de se consacrer à l’enseignement de la langue innue à l’Université de Montréal : elle est chargée de cours au Centre de langues et professeure invitée au Département de littératures et langues du monde.
Ipet Muanan nanitam mishta-atusseshtamupan utaimun, tshetshi nakatuenitakannit, tshetshi tshikanakuannit. Ushkat auassa tshishkutamuepan, minuat ekue atusset anite mashinaikanitshuapit Tshakapesh.Tshishkutamuakanipan nete mishta-katshishkutamatsheutshuapit Shekutimit kie anite mishta-katshishkutamatsheutshuapit Munianit, nenu ishi-tshishkutamuakanipan tshetshi tshishkutamatshet kie ashit anite auassa nanatuapatitshepan tshetshi nishtutahk tshishkutamatunnu. Anutshish, nashatamu nenu ka ui nanitam tutak, tshetshi tshishkutamatshet innu-aimunnu anite mishta-katshishkutamatsheutshuapit ka tshishkutamuakanit ueshkat : tshishkutamatsheu anite eshinikatenit Centre de langues kie katshishkutamatshet ishi-uinakanu anite Département de littératures et langues du monde.